Vous rencontrez des dysfonctionnements de vos installations HVAC / sanitaire / froid ?

Appelez-nous et, nous installerons gratuitement nos 70 « data loger » car, avec 16 000 points d’enregistrement, cela représente une prise toutes les 10 minutes et, ce pendant plus de 11 jours !

Nous offrons la mise à disposition des « data loger »; seuls nos frais portant sur l’analyse et le rapport vous sera porté en compte !

Et, avec nos 20 ans d’expériences, nous vous porterons vers le bon choix !

 

 

 

 

Voilà : l’Europe a voté la fin du moteur thermique !

A quand, maintenant, une obligation d’uniformisation des batteries un peu comme les prises GSM maintenant universelles ?

Pourquoi ne pas mettre en place des systèmes de location de batteries (un peu comme pour les trottinettes partagées) qui seraient pleinement compatibles avec tout les modèles de véhicule ?

Bref, à titre d’exemple, ma batterie est « basse » en énergie ; j’arrive à un point de changement rapide de batterie : j’échange l’ancienne contre une nouvelle alors en pleine charge !

Et pourquoi pas ?

Cela fonctionne bien avec les trottinettes électriques et les voitures partagées, la voiture serait moins chère à l’achat avec une batterie en location et, surtout, on ne perdrait plus de temps à DEVOIR les charger pendant de (TROP) longues minutes ,surtout quand on est pressé !

Néanmoins, le poids des batteries de voiture électrique est fort élevé (parfois jusqu’à 600 kg !); bref, pourquoi ne pas mettre au point un système automatisé (robotisé) à destination du changement rapide de batterie ?!

Voir diminuer les tailles des batteries (et, donc le poids des véhicules avec, plus d’autonomie / kWh e !) si le dispositif de changement rapide de batterie est efficace ! 

Cordialement Stéphane Séquaris

 

 

 

Déclaration pour préserver la vie privée

La société BESS Energie srl, dont le siège social est établi Avenue Reine Astrid 224/01 à 4802 Heusy (TVA BE0698.949.732) s’engage à la protection des données concernant la vie privée.

La protection mise en place est générale que ce soit lors d’une visite en nos bureaux, l’utilisation de nos outils informatiques, boites mails, sites internet, …

La société BESS Energie est tenue responsable du traitement des données personnelles qui lui sont confiées ; sachant que les données personnelles comprennent les données d’identification d’une personne physique.

La notion de ‘traitement‘ comprend les actions suivantes : collecter, établir, trier, conserver, actualiser, modifier, demander, consulter, utiliser, diffuser ou mettre à disposition peu importe la manière utilisée, regrouper, combiner, archiver, effacer ou finalement détruire des données personnelles.

Cadres d’utilisation de données personnelles :

  • utilisation afin d’atteindre l’objectif de travail que vous nous confier

  • répondre aux aspects légaux et réglementaires auxquels nous sommes soumis (fiscalité, comptabilité, …)

En dehors de ces cadres précis, nous sommes tenus d’obtenir vos accords officiels pour utiliser ces données tel que la loi l’exige.

Nos collaborateurs sont formés pour utiliser correctement les données confidentielles.

Dans le cadre d’une protection optimale, nos systèmes informatiques de partage de type plateforme ONEDRIVE sont hautement sécurisés avec changement automatique, de manière régulière, des mots de passes à combinaisons élevées.

Nos sites internets peuvent proposer des liens vers des sites tiers ; leurs politiques sortent du champs d’application de celles mises en place pour BESS Energie srl.

Nos sites internets n’utilisent pas de cookies et autres moyens technologiques pour collecter automatiquement des données.

Ce point particulier vaut pour chacun de nos sites et pages internet en ligne.

En Belgique, l’autorité compétente est la CPVP (Commission de la protection de la vie privée) à laquelle vous pouvez adresser une demande ou, une plainte par voie électronique en cliquant sur le lien suivant : https://www.privacycommission.be/fr/contoct

La présente Charte est régie par le droit belge et relève de la compétence exclusive de l’arrondissement judiciaire de Liège.

L’audit Logement

Un logement sain et bien isolé, c’est important !

La réalisation d’un audit Logement, par un auditeur agréé, permet de connaître les points faibles d’un logement et d’identifier les travaux à réaliser prioritairement afin d’améliorer le confort et la santé des habitants et de diminuer les consommations d’énergie.

La Directive européenne 2018/844/UE du 30 mai 2018 prévoit que les Etats mettent en place un système d’évaluation de la performance énergétique des bâtiments vendus ou loués (voir certification PEB) et lient l’octroi de subsides à la réalisation d’un audit énergétique.

Précédemment, l’audit « PAE2 » se limitait aux critères énergétiques de l’habitation. A présent, l’audit Logement intègre également des critères de sécurité, santé et salubrité à l’analyse du logement par l’auditeur.

Pourquoi réaliser un audit Logement ?

Vous rénovez votre logement ?

Vous souhaitez économiser de l’énergie ?

Votre logement connaît des problèmes de salubrité et vous voulez y remédier ?

En 2013, les bâtiments étaient responsables de 38% des consommations d’énergie en Région wallonne (27% pour le résidentiel et 11% pour le tertiaire). Ces consommations représentent 21% des émissions de gaz à effet de serre de la Région (16% pour le résidentiel et 5% pour le tertiaire).

Une étude (Energy Consumption Survey 2012) démontre que la Wallonie possède beaucoup d’anciennes habitations. Près d’un quart de tous les logements ont été bâtis avant 1921 et environ 80% datent d’avant 1991. Par ailleurs, d’après notre base de données de certificats énergétiques, 45% des maisons unifamiliales présentent de très faibles performances énergétiques (labels G et F, sur une échelle allant de A++ à G).

Il y a donc là un énorme potentiel d’économie d’énergie. Voilà tout l’intérêt des propositions concrètes d’améliorations formulées par un auditeur.

C’est pourquoi, dans le cadre de sa stratégie à long terme pour la rénovation énergétique des bâtiments, la Wallonie met à la disposition des citoyens une série d’outils, dont notamment : l’audit Logement et les primes Habitation.

Ces deux outils sont étroitement liés. En effet, pour pouvoir bénéficier du nouveau régime de primes Habitation (travaux d’amélioration d’un logement et/ou économiseurs d’énergie) qui entre en vigueur à partir du 1er juin 2019, il est nécessaire de faire appel à un auditeur agréé pour réaliser un audit préalable du logement.

L’audit Logement, c’est quoi ?

L’audit Logement est réalisé exclusivement par un auditeur agréé en Wallonie. Il consiste à émettre un avis relatif à la qualité énergétique d’un logement (maison unifamiliale, appartement, immeuble à appartement, …) existant et relatif à certains critères de salubrité ou de sécurité.

Au contraire de la certification PEB qui est obligatoire en cas de vente ou location, la réalisation d’un audit Logement est une démarche volontaire qui s’adresse aux propriétaires ou bailleurs. C’est également une démarche nécessaire dans le cadre de demandes de primes Habitation. La réalisation de l’audit peut également bénéficier d’une prime spécifique.

L’audit se base sur une analyse de l’enveloppe du bâtiment (murs, toitures, châssis, planchers,) mais également des systèmes de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire, de la ventilation et de certains critères de salubrité ou de sécurité (conformité de l’installation électrique/gaz, défaut de stabilité, d’humidité, etc…). Le rapport d’audit contient un scénario de rénovation chiffré et des explications relatives aux recommandations proposées. Il est accompagné d’une brochure détaillée.

Il existe 4 types d’audits déterminés en fonction du type de logement et des caractéristiques des installations de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire :

  • Type 1 : pour une maison ou un appartement possédant sa propre installation de chauffage. L’audit évalue les critères et performances de l’enveloppe et des systèmes ;
  • Type 2 : pour un appartement compris dans un immeuble avec une chaufferie collective. L’audit est limité à l’analyse des critères et performances de l’enveloppe ;
  • Type 3 : pour un immeuble à appartements mais dont chaque appartement possède son installation de chauffage. L’audit est « incomplet » car il évalue uniquement les critères et performances de l’enveloppe ;
  • Type 4 : pour un immeuble à appartements possédant une installation collective de chauffage. Cet audit est « complet » car il évalue les critères et performances de l’enveloppe et des systèmes.

Les missions de l’auditeur Logement

Peut être agréée en qualité d’auditeur toute personne physique répondant aux conditions suivantes :

  • Etre titulaire d’un diplôme d’architecte, d’ingénieur civil, d’ingénieur industriel, de bio-ingénieur ou d’un master en sciences et gestion de l’environnement ;
  • Disposer d’un agrément valable en tant que certificateur PEB d’unité résidentielle, visé aux articles 42 et suivants du décret PEB et aux articles 57 et suivants de l’arrêté PEB ;
  • Avoir suivi l’ensemble de la formation et réussi les épreuves décrites aux articles 22 et 24 de l’AGW du 4 avril 2019 (ou disposer déjà de l’agrément d’auditeur PAE2);
  • Ne pas avoir fait l’objet, moins de trois ans avant l’introduction de la demande d’agrément, d’une décision de retrait d’agrément visée au chapitre 5 de l’AGW du 4 avril 2019.

Les ressortissants d’un autre Etat justifient de leur qualification sur base de diplômes et garanties équivalents à celles visées au premier point ci-dessus.

Une personne morale peut être agréée si elle compte, parmi son personnel ou ses collaborateurs, au moins un auditeur logement agréé en tant que personne physique.

Les formulaires liés à la demande d’agrément en tant qu’auditeur logement sont disponibles au bas de cette page. Ils contiennent également des informations concernant les procédures d’agrément et sanctions.

Les missions de l’auditeur consistent essentiellement à :

  • analyser les différents critères liés à l’audit lors d’une visite du logement ;
  • prendre en compte des projets d’aménagement d’espaces non chauffés (ex : aménagement d’un ancien grenier en chambres, aménagement d’un ancien chenil en bureau,…) ;
  • déterminer les travaux d’améliorations cohérents et adaptés au logement en les regroupant sous forme de bouquets de travaux dans un scénario chiffré (investissement initial, primes et aides, temps retour sur investissement, économie d’énergies) ;
  • expliquer et commenter personnellement et en présence du demandeur, le contenu du rapport d’audit à l’aide de la brochure explicative officielle. Cette partie de la mission ne peut pas être déléguée ;
  • viser l’amélioration de la ventilation hygiénique des locaux, du confort et de la santé des habitants tout en réduisant les factures énergétiques ;
  • donner les conseils les plus pertinents tant d’un point de vue technique que budgétaire, tout en gardant son impartialité et objectivité. Il ne peut formuler aucune proposition commerciale concernant l’approvisionnement du bâtiment en énergie ou les mesures d’économies d’énergies recommandées dans l’audit ;
  • valider les critères des primes éventuelles après travaux pour permettre la liquidation de celles-ci par l’administration.

Dans l’exercice de leurs fonctions, les auditeurs réalisent personnellement, ou par délégation partielle, toutes les tâches nécessaires à l’établissement de l’audit. Lorsque l’auditeur délègue une partie de sa mission, il assume personnellement la responsabilité de toute sa mission et signe personnellement les rapports.

Sauf accord préalable du demandeur, l’auditeur ne communique à des tiers aucune information relative aux résultats de l’audit énergétique.

Source officielle en date du 05/01/2024 : https://energie.wallonie.be/fr/l-audit-logement.html?IDC=10364

https://energie.wallonie.be/servlet/Repository/rapport-final-geothermie-mines-wallonie.pdf?ID=64987

Lien ancienne publication BESS du 3/10/2018 – cas HEERLEN  : http://bess.be/tag/geothermie/

Tellement évident ; suite à mon expérience d’audit en énergie d’une mine à charbon Liégeoise .. il y a (déjà)  + – 15 ans !

Mais pourquoi les Wallons tardent tant ? Alors que les Pays Bas n’ont pas hésité il y a de nombreuses années et, qu’ils ont un VRAI retour d’expérience « à un jet de pierre » de Liège (Heerlen) !

Cordialement Stéphane Séquaris

Exemple concret d’une nouvelle construction sur un site minier qui pourrait être exploitable : https://histoiresdeliege.wordpress.com/2014/03/22/le-charbonnage-esperance-et-bonne-fortune/

 

Voici ce que l’on peut lire sur Internet ; j’ose espérer qu’il s’agit d’une fausse information digne d’un film de science-fiction…

Cultiver des cellules de cerveau humain pour les exploiter, n’est-ce pas là se prendre pour Dieu ?

Mais surtout, n’est-ce pas une manière détournée de créer une nouvelle forme d’esclavage ?

En d’autres termes, des sous-humains à exploiter sans aucune loi pour les protéger ?

Je pense qu’il est nécessaire d’encadrer cet aspect, car un véritable dérapage est à craindre dans les années à venir…

Nous nous dirigeons de toute façons vers là … où l’âme sera produite en laboratoire, implantée dans une machine, …

Est ce un fake ? Voici ce que réponds le chat GPT, libre de droit, quant on lui pose la question …

Réponse du chat GPT :

L’affirmation selon laquelle des robots en Chine seraient pilotés par des cellules cérébrales semble être exagérée et peut-être trompeuse. Bien qu’il y ait des avancées significatives dans le domaine des interfaces cerveau-machine (ICM), où les signaux cérébraux peuvent être utilisés pour contrôler des appareils externes, il est peu probable que des robots soient directement pilotés par des cellules cérébrales de manière autonome et opérationnelle à grande échelle en Chine ou ailleurs.

Les recherches sur les ICM sont encore en phase expérimentale et sont principalement utilisées dans des contextes médicaux, tels que pour aider les personnes atteintes de paralysie à contrôler des prothèses ou des ordinateurs. Ces technologies reposent généralement sur la détection et l’interprétation des signaux électriques émis par le cerveau, qui sont ensuite traduits en commandes pour les dispositifs externes.

En résumé, bien que l’idée de robots pilotés par des cellules cérébrales puisse évoquer des avancées fascinantes dans la technologie et la neuroscience, il est important de vérifier les sources et de distinguer entre la recherche scientifique réelle et les exagérations ou les fausses informations.