Source IMI : les différents types de régulation : division, mélange (le « classique ») et, l’injection.

A la base, le principe de la régulation par injection est caractérisé par l’emploi d’une vanne deux voies motorisée installée sur le départ du circuit.

Notre proposition : Brevet d’invention Belge BESS Energie srl (BE2019/0101 – publié le 23/06/2021 pour 20 ans) :

Vanne deux voies motorisée installée sur le RETOUR de chaque circuit ; régulation à température glissante de l’eau de retour (courbe réglable) en fonction de la température extérieure avec, correction en fonction de la température ambiante.

En résumé, l’avantage de maîtriser les températures du circuit ‘retour’ (plutôt que de l’ ‘aller’) améliorerait, en principe, les équilibrages hydrauliques et, in fine, favoriserait la condensation puisque les températures de retour des circuits seraient artificiellement portées « vers le bas » en fonction de la mesure de la température extérieure avec, correction selon température ambiante.

Cette idée de régulation a été développée à la suite de missions d’expertises où nous avons constatés d’importants problèmes de déséquilibres hydrauliques (certains circuits « aspirent » la majorité du débit d’eau alors que d’autres en sont privés ; les températures d’eau de retour de ces circuits « anormalement » prioritaires sont assez rapidement élevées ce qui va à l’encontre de la condensation).

Ce nouveau type de régulation devrait, en principe, auto réguler l’équilibrage hydraulique et, empêcher les températures d’eau de retour anormalement élevées. Donc, favoriser la condensation des chaudières et, de facto, leurs rendements.

Cette nouvelle méthode de régulation brevetée en Belgique nécessite la mise en place de tests de laboratoire pour la valider.

BESS Energie est à la recherche d’un partenaire industriel, d’une université ou, d’une administration qui serait apte à mener à bien l’étude par une mise en pratique sur un système existant avec, conclusions à la clé.

Avec ce nouveau système de régulation, les circulateurs électroniques à modulation automatique du débit (fonction DP) provoqueront, quant à eux, une réduction de leur consommation électrique ceci vu que la vanne deux voies motorisée créera artificiellement une perte de charge supplémentaire ceci afin de limiter la température d’eau du circuit retour ; de facto, un débit moindre et, une consommation électrique diminuée !

Cette nouvelle approche attachée à la régulation du circuit RETOUR devrait pouvoir se combiner avec la régulation « classique » du circuit aller ; elle devrait être particulièrement adaptée aux grosses installations de chauffage équipées de chaufferies et sous-stations généralement peu ou pas équilibrées hydrauliquement …

Cordialement

Stéphane Séquaris – Ingénieur-Conseil

Responsable technique et commercial (administrateur gérant)

BESS Energie .com

Avenue Reine Astrid, 224/00 4802 Heusy

Mail : info@BESS.be GSM. : 0497/90.05.05 Fixe : 087/70.28.96 Web : www.BESS.be

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Accompagnement projet VENTILATION conformes aux normes COVID

Toute l’équipe de BESS Energie peut vous accompagner depuis l’étude de faisabilité, en passant par le projet budgétisé jusqu’aux travaux et, participations aux réceptions provisoire et définitive (avec, acceptation / refus motivé).

Bureau d’études BESS Energie

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E fuel (E Carburant) est-il l’avenir ?

L’eFuel présente certainement des avantages et des possibilités intéressantes pour l’avenir de la transition énergétique et de la réduction des émissions de gaz à effet de serre dans certains secteurs. Voici quelques points à considérer :

  1. Réduction des émissions de carbone : Les eFuels peuvent être produits à partir de sources d’énergie renouvelable, telles que l’énergie solaire, éolienne ou hydraulique. Lorsqu’ils sont produits de manière durable, ils peuvent contribuer à réduire les émissions de carbone dans les secteurs où il est difficile d’électrifier complètement les processus, comme l’aviation, le transport maritime et routier lourd.

  2. Compatibilité avec l’infrastructure existante : Les eFuels peuvent être utilisés dans les moteurs à combustion interne et dans les infrastructures de distribution de carburant existantes, ce qui signifie qu’ils peuvent compléter les combustibles fossiles sans nécessiter de modifications majeures des infrastructures.

  3. Flexibilité d’utilisation : Les eFuels peuvent être utilisés dans une variété d’applications, y compris les véhicules à combustion interne, les avions et les navires, offrant ainsi une solution potentielle pour réduire les émissions dans ces secteurs.

Cependant, il est important de noter que les eFuels ne sont pas une solution universelle et présentent également des défis et des limites :

  1. Coûts élevés et rendement énergétique : La production d’eFuel à partir de sources d’énergie renouvelable peut être coûteuse et nécessite souvent beaucoup d’énergie, ce qui peut réduire son efficacité par rapport à d’autres solutions.

  2. Concurrence avec d’autres alternatives durables : Les eFuels peuvent être en concurrence avec d’autres solutions de transport durable, telles que les véhicules électriques et les piles à combustible à hydrogène, qui peuvent être plus efficaces et offrir des avantages différents dans certains contextes.

  3. Dépendance à long terme sur les combustibles liquides : Bien que les eFuels puissent contribuer à réduire les émissions de carbone, ils maintiennent la dépendance aux combustibles liquides, ce qui peut ne pas être la solution optimale à long terme dans une perspective de décarbonisation totale.

En résumé, bien que les eFuels puissent jouer un rôle dans la transition énergétique, leur viabilité à long terme dépendra de plusieurs facteurs, notamment de leur coût, de leur efficacité énergétique et de leur compétitivité par rapport à d’autres alternatives durables.

L’hydrogène préparé par électrolyse est ce de l’ efuel ?

Oui, l’hydrogène produit par électrolyse peut être considéré comme un type d’eFuel. L’électrolyse de l’eau consiste à utiliser de l’électricité pour décomposer l’eau (H2O) en ses composants de base, de l’hydrogène (H2) et de l’oxygène (O2). L’hydrogène ainsi produit peut être utilisé comme combustible dans diverses applications, y compris les piles à combustible pour produire de l’électricité ou dans des véhicules à hydrogène.

Le terme « eFuel » est souvent utilisé pour désigner les carburants synthétiques produits à partir de sources d’énergie renouvelable, comme l’électricité renouvelable, l’hydrogène peut être inclus dans cette catégorie lorsque son processus de production utilise des sources d’énergie renouvelable telles que l’énergie solaire ou éolienne. Cependant, il convient de noter que l’hydrogène peut également être produit à partir de sources d’énergie non renouvelables, telles que les combustibles fossiles, ce qui ne correspondrait pas à la définition d’un eFuel durable.

Pour les voitures, e fuel et batterie électrique : quelle technologie pourrait s’imposer dans les prochaines années ?

La compétition entre les eFuels et les voitures électriques avec batterie dépendra de plusieurs facteurs, notamment des avancées technologiques, des politiques gouvernementales, des préoccupations environnementales et des préférences des consommateurs. Voici quelques points à considérer :

  1. Voitures électriques avec batterie :
    • Les voitures électriques sont de plus en plus populaires en raison de leur faible coût d’utilisation, de leur performance améliorée et de leur contribution à la réduction des émissions de carbone.
    • Les progrès dans la technologie des batteries, y compris la réduction des coûts et l’augmentation de l’autonomie, rendent les voitures électriques de plus en plus attractives pour de nombreux consommateurs.
    • Les politiques gouvernementales visant à encourager l’adoption des véhicules électriques, telles que les incitations fiscales et les normes d’émissions plus strictes, peuvent également favoriser leur croissance.
  2. eFuels pour les voitures à combustion interne :
    • Les eFuels peuvent offrir une alternative aux voitures à combustion interne alimentées par des carburants fossiles. Ils pourraient aider à réduire les émissions de carbone dans les véhicules existants sans nécessiter de modifications majeures de l’infrastructure.
    • Cependant, la production d’eFuels peut être coûteuse et moins efficace sur le plan énergétique par rapport aux voitures électriques, en particulier lorsque l’électricité utilisée pour produire ces carburants est issue de sources non renouvelables.

Dans les prochaines années, il est probable que les voitures électriques continueront de gagner en popularité en raison de leur efficacité énergétique, de leur réduction des coûts opérationnels et de leur contribution à la réduction des émissions de carbone. Cependant, les eFuels pourraient jouer un rôle dans la transition énergétique en offrant une solution de transition pour les véhicules à combustion interne existants et pour les applications où l’électrification complète n’est pas encore viable.

En fin de compte, la combinaison de politiques favorables, de progrès technologiques et de préférences des consommateurs déterminera le paysage automobile dans les années à venir, mais il semble que les voitures électriques avec batterie auront un rôle central dans la réduction des émissions de carbone et la transition vers une mobilité plus durable.

Plusieurs grandes marques automobiles se tournent vers le développement de moteurs à hydrogène pour plusieurs raisons :

  1. Autonomie et temps de recharge : Les véhicules à hydrogène offrent généralement une autonomie plus élevée par rapport aux voitures électriques avec batterie. Le temps nécessaire pour faire le plein d’hydrogène est également généralement plus court que celui nécessaire pour recharger une batterie, ce qui peut être attractif pour les consommateurs habitués aux temps de recharge courts des véhicules à essence ou diesel.
  2. Poids et encombrement : Les piles à combustible à hydrogène, utilisées dans les véhicules à hydrogène, sont souvent plus légères et prennent moins de place que les batteries nécessaires pour une autonomie similaire dans les véhicules électriques. Cela peut permettre aux constructeurs automobiles de concevoir des véhicules à hydrogène avec un meilleur équilibre entre performance, autonomie et espace intérieur.
  3. Polyvalence d’utilisation : Les véhicules à hydrogène peuvent être utilisés dans une variété d’applications, y compris les voitures particulières, les camions lourds, les bus et même les trains. Cette polyvalence pourrait permettre une adoption plus large des véhicules à hydrogène dans différents secteurs.
  4. Vision à long terme de la durabilité : Certains constructeurs automobiles voient les véhicules à hydrogène comme une solution à long terme pour réduire les émissions de carbone et atteindre des objectifs de durabilité. L’hydrogène peut être produit à partir de sources d’énergie renouvelable, ce qui en fait une option potentiellement plus durable que les carburants fossiles.

Cependant, malgré ces avantages, les véhicules à hydrogène sont confrontés à des défis importants, notamment le coût élevé de la production d’hydrogène, le manque d’infrastructures de distribution d’hydrogène, et les défis technologiques liés au stockage et à la manipulation de l’hydrogène.

En résumé, bien que certaines grandes marques automobiles se concentrent sur le développement de moteurs à hydrogène en raison de leurs avantages potentiels, les véhicules électriques avec batterie restent également une solution importante pour la transition vers une mobilité plus durable, et leur adoption continue de croître dans de nombreux marchés à travers le monde.

D’autres pays comme la Chine sont en avance sur l’Europe avec la Technologie des batteries électriques. N’est pas là une voie non explorée que les fabricants européens souhaitent développer pour se démarquer ?

Absolument, les fabricants européens de l’industrie automobile sont conscients de la compétition mondiale et des avancées réalisées par d’autres pays, notamment la Chine, dans le domaine des technologies des batteries électriques. La Chine est en effet un leader mondial dans la production de batteries électriques et dans le déploiement de véhicules électriques.

Les fabricants européens reconnaissent l’importance de se démarquer sur le marché mondial en développant des technologies innovantes et en répondant aux besoins changeants des consommateurs en matière de mobilité durable. Voici quelques-unes des voies explorées par les fabricants européens pour se démarquer :

  1. Innovation dans les technologies de batterie : Les fabricants européens investissent massivement dans la recherche et le développement de technologies de batteries plus avancées, notamment les batteries à haute densité énergétique, les batteries à charge rapide et les technologies de stockage de pointe. Ces avancées visent à améliorer l’autonomie, la durabilité et la sécurité des véhicules électriques.
  2. Mobilité électrique intégrée : Les fabricants européens ne se concentrent pas uniquement sur les voitures électriques, mais développent également des solutions de mobilité intégrée, telles que les services de partage de véhicules électriques, les solutions de recharge intelligentes et les systèmes de gestion de flotte, pour répondre aux besoins variés des consommateurs.
  3. Durabilité et éco-responsabilité : Les fabricants européens mettent l’accent sur la durabilité et l’éco-responsabilité tout au long de la chaîne de valeur, de la conception des véhicules à leur fabrication et leur recyclage. Ils s’engagent à réduire l’empreinte carbone de leurs opérations et à promouvoir des pratiques commerciales durables.
  4. Partenariats et collaborations : Les fabricants européens établissent des partenariats stratégiques avec d’autres entreprises, institutions de recherche et gouvernements pour stimuler l’innovation et accélérer la transition vers la mobilité électrique. Ces collaborations favorisent le partage des connaissances, des ressources et des meilleures pratiques.

En résumé, les fabricants européens reconnaissent l’importance de rester compétitifs sur le marché mondial en développant des technologies de pointe et en adoptant une approche holistique de la mobilité électrique. Ils sont engagés à explorer de nouvelles voies pour se démarquer et à jouer un rôle de premier plan dans la transition vers une mobilité plus durable et économe en énergie.

« Trias Energetica » en trois points  :

. Minimalisation de la demande d’énergie opérationnelle : réduire la demande énergétique. Des mesures spécifiques doivent être mises en œuvre pour arriver à une utilisation rationnelle de l’énergie. Ces mesures constituent une première étape vers un concept d’économie d’énergie.

. Utilisation de sources d’énergie renouvelable : les sources d’énergie renouvelable peuvent apporter une contribution à la production d’énergie.

. Approvisionnement efficace en énergie : minimiser la consommation d’énergie primaire et les émissions, en utilisant des systèmes de production, de distribution, d’émission et de régulation efficients.

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Voilà : l’Europe a voté la fin du moteur thermique !

A quand, maintenant, une obligation d’uniformisation des batteries un peu comme les prises GSM maintenant universelles ?

Pourquoi ne pas mettre en place des systèmes de location de batteries (un peu comme pour les trottinettes partagées) qui seraient pleinement compatibles avec tout les modèles de véhicule ?

Bref, à titre d’exemple, ma batterie est « basse » en énergie ; j’arrive à un point de changement rapide de batterie : j’échange l’ancienne contre une nouvelle alors en pleine charge !

Et pourquoi pas ?

Cela fonctionne bien avec les trottinettes électriques et les voitures partagées, la voiture serait moins chère à l’achat avec une batterie en location et, surtout, on ne perdrait plus de temps à DEVOIR les charger pendant de (TROP) longues minutes ,surtout quand on est pressé !

Néanmoins, le poids des batteries de voiture électrique est fort élevé (parfois jusqu’à 600 kg !); bref, pourquoi ne pas mettre au point un système automatisé (robotisé) à destination du changement rapide de batterie ?!

Voir diminuer les tailles des batteries (et, donc le poids des véhicules avec, plus d’autonomie / kWh e !) si le dispositif de changement rapide de batterie est efficace ! 

Cordialement Stéphane Séquaris

 

 

 

Voici ce que l’on peut lire sur Internet ; j’ose espérer qu’il s’agit d’une fausse information digne d’un film de science-fiction…

Cultiver des cellules de cerveau humain pour les exploiter, n’est-ce pas là se prendre pour Dieu ?

Mais surtout, n’est-ce pas une manière détournée de créer une nouvelle forme d’esclavage ?

En d’autres termes, des sous-humains à exploiter sans aucune loi pour les protéger ?

Je pense qu’il est nécessaire d’encadrer cet aspect, car un véritable dérapage est à craindre dans les années à venir…

Nous nous dirigeons de toute façons vers là … où l’âme sera produite en laboratoire, implantée dans une machine, …

Est ce un fake ? Voici ce que réponds le chat GPT, libre de droit, quant on lui pose la question …

Réponse du chat GPT :

L’affirmation selon laquelle des robots en Chine seraient pilotés par des cellules cérébrales semble être exagérée et peut-être trompeuse. Bien qu’il y ait des avancées significatives dans le domaine des interfaces cerveau-machine (ICM), où les signaux cérébraux peuvent être utilisés pour contrôler des appareils externes, il est peu probable que des robots soient directement pilotés par des cellules cérébrales de manière autonome et opérationnelle à grande échelle en Chine ou ailleurs.

Les recherches sur les ICM sont encore en phase expérimentale et sont principalement utilisées dans des contextes médicaux, tels que pour aider les personnes atteintes de paralysie à contrôler des prothèses ou des ordinateurs. Ces technologies reposent généralement sur la détection et l’interprétation des signaux électriques émis par le cerveau, qui sont ensuite traduits en commandes pour les dispositifs externes.

En résumé, bien que l’idée de robots pilotés par des cellules cérébrales puisse évoquer des avancées fascinantes dans la technologie et la neuroscience, il est important de vérifier les sources et de distinguer entre la recherche scientifique réelle et les exagérations ou les fausses informations.

 

 

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On pourrait dire que traiter quelqu’un de « fou » reflète en réalité une limite de notre compréhension de sa perspective ou de son vécu. Souvent, ce qu’on perçoit comme de la folie est une manière différente de penser, une logique qui nous échappe mais qui est cohérente dans le cadre de la personne qui l’éprouve. Parfois, ce sont les normes et les attentes de la société qui délimitent la « normalité », ce qui peut rendre « fous » ceux qui ne s’y conforment pas.

Donc oui, peut-être qu’il est insensé de qualifier quelqu’un de « fou » sans essayer d’abord de comprendre son point de vue. La folie résiderait davantage dans notre manque d’ouverture que dans la manière de penser de l’autre.