Audit Thermographique
Publication vers BESS CCTT 2022
Gratuit : la revue ATHENA de la Wallonie !
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Revue gratuite et intéressante sur les sciences et les techniques !
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Simulateur tarifaire pour Consommateur Résidentiel
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Avec ce simulateur vous comparez les différents prix proposés par les fournisseurs d’électricité et de gaz, pour des consommations à partir du 1er janvier 2007, date de l’ouverture totale du marché de l’électricité et du gaz en Région wallonne. Les calculs seront donc fait à partir des formules tarifaires des fournisseurs applicables à partir du 1er janvier 2007. Ces formules nous sont transmises par les fournisseurs concernés qui gardent l’entière responsabilité des valeurs publiées dans ce simulateur tarifaire. Lorsque certaines informations ne sont pas encore disponibles pour 2007, ce sont les données disponibles les plus récentes qui sont utilisées. Il vous suffit d’introduire les données relatives à votre consommation habituelle ainsi que votre code postal dans les champs prévus à cet effet. |
De quoi avez-vous besoin pour réaliser la simulation? |
Aidez-vous de votre dernière facture de clôture d’électricité et de gaz: |
Pour l’électricité |
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Pour le gaz |
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Développement durable
La PEB: obligatoire en 2009 !
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Certificat énergétique obligatoire dès 2009
Certificat énergétique obligatoire dès 2009, plus de vente ou de location sans certificat !
La lutte contre le réchauffement du climat et la préservation des ressources énergétiques constituent deux des défis majeurs de ce siècle. L’Europe s’y attelle en instaurant notamment une expertise obligatoire des biens immobiliers. Il s’agira d’un véritable contrôle technique, susceptible d’influer sur les conditions de la vente.
En quelques années, le coût de l’énergie que requiert un produit pour fonctionner est devenu l’un des critères les plus importants lorsqu’il s’agit d’acheter. Ce constat est autant valable pour la consommation électrique (sèche-linge, cuisinières, etc.) que pour la consommation des produits pétroliers. Il suffit de se pencher sur la subite augmentation du nombre de voitures qui roulent au « diesel » pour s’en convaincre.
Actuellement, il n’est plus envisageable d’écarter ce facteur pour les immeubles. Une vieille chaudière, des châssis vétustes, l’absence de double vitrage ou des portes mal isolées constituent autant d’éléments susceptibles de faire monter, parfois de manière exorbitante, la facture d’énergie. Le coût du baril de pétrole, sans cesse revu à la hausse, n’arrange rien. Pour ces raisons, l’intérêt général et individuel se rejoignent aujourd’hui pour remédier au gaspillage permanent que notre parc immobilier occasionne.
source : http://www.pap.be/infos_be/fr/CourrierLecteurs_details.asp?id=129
La réglementation wallonne – PEB – « au fil du temps »
Production, distribution et URE du froid industriel
Facilitateur URE – Article de Fond Philippe Smekens (facilitateur URE pour le SPW – conseiller énergie à la CCIH)
Articles de fond en vue d’une publication dans « Le REactif ».
« Production, distribution et utilisation rationnelles du froid industriel »
La production de froid est une technique complexe, nécessitant beaucoup de savoir faire et d’expérience et de conscience professionnelle de la part des installateurs et des maintenanciers.
Le froid industriel est un poste énergivore qui représente :
15% de la consommation électrique mondiale !
+ de 20% en secteur agro-alimentaire
+ de 50% en supermarché
+ de 65% de la consommation électrique en entreprises spécialisées en produits frais :
Nous tâcherons dans ce dossier de répondre aux questions suivantes :
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Comment fonctionne un groupe de froid ?
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Suis-je en règle vis-à-vis de la règlementation concernant la production de froid ?
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Comment faire pour réduire les factures d’énergie de mes groupes de froid ?
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Comment faire pour conserver mon réseau de froid efficace et durable ?
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Comment faire pour commander une nouvelle installation de froid ?
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Est-il possible de récupérer des calories sur le groupe de froid ?
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Quels sont les incitants financiers pour investissements URE (utilisation rationnelle de l’énergie)
Source de l’extrait de l’article présenté ci-dessus : https://energie.wallonie.be/servlet/Repository/ccih-articlefond-froid-industriel-20180104.pdf?ID=49401&saveFile=true
Téléchargement de l’article PDF complet : ccih-articlefond-froid-industriel-10-11-2011
La durée d’amortissement des travaux – Eco-responsabilité citoyenne (03/10/2018)
La durée d’amortissement des investissements
Il s’agit de la durée nécessaire pour rembourser l’intégralité des investissements réalisés dans le cadre des travaux économiseurs d’énergie :
1. Ce, par le gain provoqué par les économies énergétiques générées, chaque année.
2. S’il échet, grâce aux primes et/ou aux réductions fiscales qui favorisent encore d’avantage les temps de retour.
Par exemple : il n’est pas rare que le coût des travaux portant sur le remplacement d’une ancienne chaudière soit récupéré en 5 années, … pour, in fine, ne plus être que du gain financier !
Contrairement aux produits financiers peu fiables, les investissements dans le domaine de l’utilisation rationnelle de l’énergie (URE) demeurent rentables puisque, in fine, les réserves de combustibles fossiles continuent à s’épuiser inexorablement et, qu’à l’heure actuelle, le défi cornélien visant à la suppression des ressources nucléaires ne peut, à moyen et à long terme, que provoquer une augmentation particulièrement substantielle du coût du kWh ‘classique’ !
Source : http://www.natura-sciences.com/energie/centrales-nucleaires-demantelement512.html
La crise du nucléaire 2018 rappelle que l’énergie n’est pas un « puits infini » et, « qu’elle est précieuse » : il s’agit de la respecter. A l’annonce de la fermeture de plusieurs centrales nucléaires pour cause d’entretien, nous recevions ce post linkedin de Damien Ernst – Professeur ULG :
« Alerte prix de l’électricité en Belgique. 411 €/MWh sur les marchés demain à 21h.
Prix moyen sur les marchés en 2017 : moins de 40 €/MWh.
Et on n’est pas encore en hiver. La facture va EXPLOSER. »
Par expérience, lorsqu’un vecteur énergétique augmente, cela risque d’entraîner à la hausse les autres vecteurs énergétiques … (gaz naturel, fuel, …).
En Belgique, le nucléaire assure environ 50 % de production… du pays et, nos centrales sont vieillissantes.
Plusieurs alternatives portant sur le respect des ressources énergétiques – « éco-responsable » sont à mettre en place :
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Des technologies plus économes en consommation – l’audit en énergie est l’outil
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Modifier les (mauvaises) habitudes des personnes (mise en place d’une cellule énergie en terme de sensibilisation, introduire des formations dès l’école pour sensibiliser les plus jeunes au respect des ressources énergétiques, …) en vue que chacun devienne « éco-responsable »
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Recycler : les parcs Belge en sont un bel exemple mais, aussi les magasins de seconde main
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Eviter les achats impulsifs et, inutiles qui resterons dans les armoires (ils coûtent en énergie et, en CO2 : fabrication, transport, recyclage, destruction, … etc)
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Contrer les publicités qui provoquent des achats impulsifs et compulsifs inutiles; des effets de mode inutiles (dynamique de groupe « à casser »)
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Mettre en place un système de labellisation légal GLOBAL des produits (label portant sur la fabrication, l’utilisation puis, la destruction / le recyclage) afin d’orienter le consommateur. Cet aspect est certainement le plus compliqué à mettre en oeuvre mais, certes, un des plus important … Il y a à faire …
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Favoriser et, encourager le télétravail
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Trouver une solution vis-à-vis du primaire (usine) en Belgique qui doit amortir les travaux d’investissement en 2 ans (fort / trop court) puisqu’il s’agit généralement de multinationale « à l’avenir incertain ». Je trouve malheureux que certaines entreprises déversent quotidiennement leur surplus d’énergie dans la Meuse; sinon, pour provoquer un micro-climat sur Liège (qui gagne 1 ou 2°C Te…) ?
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Que les Bureau d’Etudes prescrivent des équipements à la pérennité allongée (exiger des garanties à longs termes, etc …); bref, de la qualité.
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Condamner fermement les fabricants qui programment la mort intentionnelle de leurs accessoires et équipements ce, afin d’entraîner de nouvelles affaires (exemples de cas : imprimantes, smartphones, etc …) alors que ceux-ci auraient pu fonctionner bien plus longtemps
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Encadrer et encourager, si nécessaire, les professions visant à réparer et, à redonner une nouvelle vie aux produits existants. Ce n’est pas ringard de réparer
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Favoriser et encourager l’autonomie « toute relative » des industries et, des copropriétés (cogénération, panneaux solaires, …)
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Favoriser et, encourager les technologies vertes à tendance de production continue (à contrario, les éoliennes ne fonctionnent pas quand il y a trop ou trop peu de vent; principe similaire avec les panneaux solaires avec le soleil) : lire notre article ‘Géothermie et, mines désaffectées – La Région Wallonne en est riche – les Hollandais ont osés ; pourquoi pas nous ?’
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Créer des pistes cyclables protégées; la Wallonie est vallonnée bien entendu mais, les vélos à assistance électrique sont particulièrement efficaces et puis, le sport : c’est bon pour la santé ! Les pistes cyclables « peintes » sur le sol, avec l’emploi des fonds européens, sont inutiles car, elles ne protègent PAS l’usagé faible ! Inspirons-nous des Hollandais qui utilisent le vélo en quasi « non stop » mais, toujours en protection … Et, pourquoi pas nous ?
Certaines de ces mesures non populaires pourraient provoquer, à court / moyen terme, des pertes d’emplois. Néanmoins, la restructuration de la société pourrait, par contre, en créer des nouveaux. Un nouvel équilibre devra être trouvé; car, de toute façon, nous sommes (tous) face à un mur et, de tout cœur, il ne faudrait pas que la terre devienne « le nouveau Titanic » qui sombrerait faute … d’Iceberg ; ).
Cordialement
Stéphane Séquaris – Ingénieur-Conseil et, expert agréé en énergie
Le Propane en institution ? (03/10/2018)
Le Propane en institution ?
La sécurité « active » par sondes et, centrale de détection (avec, le risque que la technique peut être, un jour, défectueuse – ne fut-ce que par défaut d’entretien : cas concret rencontré dans une administration !!! )
La sécurité « passive » qui vise que le gaz s’évacue « naturellement » en cas de fuite.
Le gaz naturel est plus léger que l’air, le point 2 est, par conséquent, plus facile à mettre en œuvre en créant des ventilations hautes au ras du plafond (celles-ci existent d’ailleurs, d’office, dans les vides-ventilés).
Le propane est un gaz lourd, plus lourd que l’air, il tapisse alors le sol … l’énorme danger est qu’il s’engouffre dans les vides-ventilés / sanitaires et, d’une façon générale, au niveau de l’ensemble des « points bas »… qui ne seraient même pas surveillés … !
Comme pour le LPG, je suis d’avis que les équipements, accessoires et, tuyauteries alimentés au gaz lourd n’ont pas leur place dans un bâtiment « avec des points bas » ; il suffit alors de construire un petit bâtiment technique (extérieur et, non accolé au bâtiment), en radier sur sol, équipé de grille(s) de ventilation extérieure(s) au ras du sol ; ainsi en cas de fuite de gaz, le gaz lourd s’élimine alors « naturellement » (par dilution dans l’air extérieur). La jonction « chauffage » entre ce petit local technique et, le bâtiment principal peut alors s’organiser au travers de tuyauteries enterrées dans le sol (en écartant toute possibilité d’entrée du gaz dans le bâtiment – pas de caniveau de jonction, par exemple…).
De cette façon, le point 2 est (aussi) rencontré.
Voici pour « illustrer » mes propos ; il s’agissait pourtant d’une toute nouvelle construction (2010)…
https://www.rtl.be/info/regions/liege/explosion-a-soumagne-les-dernieres-choses-qui-relient-ces-enfants-au-passe–175418.aspx
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/3269722/2017/09/26/Deux-theses-s-affrontent-pour-expliquer-l-explosion-de-Soumagne.dhtml
Heusy, le 19/04/2018
Stéphane Séquaris – Ingénieur Conseil BESS Energie – Ancien Agent volontaire opérationnel de la Protection Civile de Crisnée (de 1998 à 2016 – 18 ans et, semi-professionnel attaché pendant une année au peloton n°1 de Crisnée en spécialité NBC – Nuclear Biologic Chimic)